
















Zones / 2021 (en cours)
En collaboration avec Tom Lyon et Nordine Saïdi
Élément
clé de la topographie de la capitale, le canal a subi plusieurs
modifications au cours de son histoire. Autrefois barrière
naturelle de la ville, cet ancien quartier industriel en plein
réaménagement est aujourd’hui un enjeu socio-politique,
économique et immobilier majeur du Bruxelles de demain.
En réaction aux fractures de l’espace et de la société, Pauline Vanden Neste et Tom Lyon se saisissent de l’appareil photographique, de sa force narrative et des possibilités de rencontre qu’il provoque. Iels dressent le portrait d’un territoire sujet aux politiques libérales de gentrification, des personnes qui l’habitent et des façons de s’approprier l’espace.
Défendant l’aspect collectif de leur travail et questionnant la question de l’auteur, iels ont récemment invité Nordine Saïdi à les rejoindre dans ce projet. Militant, habitant d’Anderlecht et éducateur, Nordine Saïdi intègre sa voix et ses positions à la manière d’un narrateur. A travers des discussions, des balades enregistrées et des écrits, son récit personnel dialogue avec les images de la zone du canal. Confronté·es aux limites de l’image fixe, iels intègrent progressivement des traces écrites, sonores et audiovisuelles à ce projet en cours.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles
En réaction aux fractures de l’espace et de la société, Pauline Vanden Neste et Tom Lyon se saisissent de l’appareil photographique, de sa force narrative et des possibilités de rencontre qu’il provoque. Iels dressent le portrait d’un territoire sujet aux politiques libérales de gentrification, des personnes qui l’habitent et des façons de s’approprier l’espace.
Défendant l’aspect collectif de leur travail et questionnant la question de l’auteur, iels ont récemment invité Nordine Saïdi à les rejoindre dans ce projet. Militant, habitant d’Anderlecht et éducateur, Nordine Saïdi intègre sa voix et ses positions à la manière d’un narrateur. A travers des discussions, des balades enregistrées et des écrits, son récit personnel dialogue avec les images de la zone du canal. Confronté·es aux limites de l’image fixe, iels intègrent progressivement des traces écrites, sonores et audiovisuelles à ce projet en cours.